Région suisse orientale: comment régler sa succession

L'entreprise existait depuis soixante ans, la deuxième génération de propriétaires était déjà aux commandes et ceux-ci approchaient de l'âge de la retraite. Il fallait donc trouver un successeur.

Le conseiller adlatus s'est mis au travail. Il devait tout d'abord s'intéresser de plus près à l'entreprise, connaître les membres de la famille. 

 La situation financière était complexe,  les biens appartenaient en partie aux différents frères et sœurs, à l'entreprise ou à une communauté d'héritiers. Ils devaient être évalués, puis répartis ou vendus afin de permettre l'acquisition des parts de l'entreprise par les deux successeurs. En d'autres termes, pour permettre le règlement d'une succession, il faut souvent défaire des rapports de propriété qui se sont développés sur des décennies.

Lors d'entretiens individuels, le conseiller adlatus a d'abord dû déterminer ce que tous les membres de la famille voulaient atteindre. A partir de là, il a élaboré un calendrier des mesures nécessaires, qui a été approuvé par tous comme programme de travail. Pour cela, il fallait aussi faire appel à des fiduciaires et à des avocats.

Pendant ce temps, les successeurs se sont formés de manière ciblée et ont commencé à moderniser l'organisation quelque peu archaïque. 

Entre-temps, le projet est terminé et la transmission a eu lieu. Le thème du règlement de la succession comporte de nombreux pièges. Il est préférable de faire appel à un conseiller expérimenté.

Adlatus est différent des autres sociétés de conseil.

Succession d'adlatus : beaucoup d'entre nous sont d'anciens directeurs, fondateurs et propriétaires d'entreprises. Nous avons également transmis

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